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Documents  Le Mans | enregistrements trouvés : 7

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- 346 p.
Cote : DI PUB 156

Présentation de l'éditeur : "La mer est un espace sur lequel s exerce le pouvoir de l Etat de manière spécifique : si l exclusivité de l Etat territorial est la règle dans la mer territoriale, il n en va plus de même lorsque l on s éloigne de ses côtes où préside la règle de la liberté, seul l Etat du pavillon ayant un pouvoir sur les activités qui s y déroulent, ce qui rend l application du droit international des droits de l Homme délicate. D un autre côté, aucune règle du droit de la mer ne semble obliger les Etats à protéger les droits fondamentaux, conférant par là-même des droits aux individus. En effet, le droit de la mer apparaît de prime abord comme un droit exclusivement interétatique, comme le démontre le refus persistant de reconnaissance de l’effet direct sur les personnes privées de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer adoptée à Montego Bay en 1982.

Or le droit de la mer est un enjeu véritable pour l’Homme et la protection de ses droits fondamentaux. Les rapports entre les droits de l’Homme et le droit de la mer ont besoin d’être interrogés, à la lumière des drames actuels de migrants en Méditerranée, mais aussi d’affaires mettant en cause les droits de l’équipage, du capitaine, de l’armateur ou du propriétaire suite à des arraisonnements. Les activités en mer peuvent avoir de lourdes conséquences sur la protection des droits fondamentaux des personnes en mer, mais aussi la terre des Etats côtiers, et ce d’autant plus si l’on admet l’existence d’un droit international à des conditions de vie dignes et d’un droit à un environnement sain. L’impact sur l’écosystème des activités de pêche et autres activités d’exploitation conduites en milieu marin le démontre car il peut en effet conduire à priver certaines populations de ressources indispensables à leur survie et porter atteinte à la biodiversité.

Ces considérations, parmi d’autres ici abordées, soulèvent les problématiques croisées de l’application des droits de l’Homme en mer et de l’émergence de règles de droit de la mer protectrices des droits de l’Homme. Pour l’Homme et en relation avec les droits de l’Homme, la mer apparaît tout à la fois comme un espace de liberté, une zone de survie et un moyen de subsistance : ces trois points constituent les grands axes de la réflexion. Celle-ci fut menée lors d’un colloque organisé par le laboratoire Thémis-UM (Le Mans Université) en mai 2018, dont cet ouvrage est l’aboutissement."
Présentation de l'éditeur : "La mer est un espace sur lequel s exerce le pouvoir de l Etat de manière spécifique : si l exclusivité de l Etat territorial est la règle dans la mer territoriale, il n en va plus de même lorsque l on s éloigne de ses côtes où préside la règle de la liberté, seul l Etat du pavillon ayant un pouvoir sur les activités qui s y déroulent, ce qui rend l application du droit international des droits de l Homme délicate. D ...

droit de la mer ; droits de l'Homme

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- XVI-226 p.
Cote : DIR AM 411

Présentation de Bernard Stirn : "La communication du juge administratif a accompagné ta construction des juridictions administratives. Dès le XIXe siècle, le Conseil d'État a eu recours à la publicité. En 1831, tes audiences du Conseil d'État sont devenues publiques. Mais c'est plus particulièrement la publication des décisions du Conseil d'Etat, au moyen du célèbre Recueil Lebon, qui a été un élément de construction de la juridiction administrative et de son indépendance. - Le nombre de décisions rendues par le juge administratif ayant explosé au cours des vingt dernières années, la communication des décisions mérite d'être développée. Le Conseil d'État s'est d'ailleurs doté d'outils de communication nouveaux ou renouvelés. En 2016, un porte-parole du Conseil d'État a même été créé. - Toutefois, la communication des décisions de justice est parfois perçue comme une menace. Les nouveaux canaux offerts par le numérique sont donc limités pour empêcher une communication complète des décisions du juge administratif (« pseudonymisation » pour les personnes physiques, par exemple). - À travers les analyses de chercheurs, de juristes, d'avocats et de juges spécialistes de ces questions, le présent ouvrage offre une réflexion approfondie sur la communication des décisions du juge administratif. Il permet aussi de mieux comprendre tes liens entre la communication des décisions du juge administratif et la construction du droit administratif. - « Le colloque, qui donne lieu au présent ouvrage, a été le lieu d'une prise de conscience des changements en cours » (Laurent Richer) - « Cette publication (...) permet à tous de s'engager dans les voies prometteuses qui ont été ouvertes et qui restent encore largement à explorer » (Bernard Stirn)"
Présentation de Bernard Stirn : "La communication du juge administratif a accompagné ta construction des juridictions administratives. Dès le XIXe siècle, le Conseil d'État a eu recours à la publicité. En 1831, tes audiences du Conseil d'État sont devenues publiques. Mais c'est plus particulièrement la publication des décisions du Conseil d'Etat, au moyen du célèbre Recueil Lebon, qui a été un élément de construction de la juridiction a...

droit administratif ; informatique ; société numérique ; protection de l'information ; données ouvertes

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- 198 p.
Cote : DIR NUM 81

Actes du colloque organisé le 14 novembre 2019 par la faculté de droit de l'Université du Mans et le laboratoire Themis-UM, avec le soutien de l'Institut du risque et des assurances. Présentation de l'éditeur : "La dissémination de l'intelligence artificielle dans tous les pans de la société confronte la personne à de nouvelles problématiques dont le colloque organisé par la faculté de droit du Mans le 14 novembre 2019 se fit l'écho. L'intelligence y fut d'abord envisagée comme le reflet de la personne juridique, à travers l'examen des questions de responsabilité, de propriété ou de personnalité qu'elle soulève, puis comme le reflet de la personne humaine, par l'examen des questions juridiques et philosophiques attachées à la ressemblance à l'humain, vivant ou mort, des bots ou robots. L'intelligence artificielle fut ensuite envisagée comme le relais de la personne et de son corps, par l'examen des questions éthiques et juridiques rencontrées dans le cadre de l'acte médical, de la recherche médicale ou plus largement dans le cadre du système de santé, puis comme le relais des activités humaines, qu'elles soient conventionnelles ou judiciaires."
Actes du colloque organisé le 14 novembre 2019 par la faculté de droit de l'Université du Mans et le laboratoire Themis-UM, avec le soutien de l'Institut du risque et des assurances. Présentation de l'éditeur : "La dissémination de l'intelligence artificielle dans tous les pans de la société confronte la personne à de nouvelles problématiques dont le colloque organisé par la faculté de droit du Mans le 14 novembre 2019 se fit l'écho. L'...

droit des technologies de l'information et de la communication ; internet ; intelligence artificielle ; robotique ; Droit de la personne

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- 228 p.
Cote : DIVERS 101

Présentation de l'éditeur : "La protection des attentes légitimes fait partie de ces principes dont chacun comprend l'idée générale, mais pour lesquels il est impossible de proposer une définition univoque. C'est que là où elles constituent un facteur bien identifié de l'encadrement de l'action publique - en Common law ou en droit international des investissements par exemple -, les attentes légitimes donnent lieu à des interprétations divergentes. C'est que, par ailleurs, les attentes légitimes sont étrangères à de nombreux autres ordres juridiques. Pourtant, derrière certaines règles propres à ces systèmes, on peut en reconnaître l'ombre furtive. Il semble que cela soit le cas du droit public français. Qu'il s'agisse, ici et là, d'un même principe qui agirait à visage découvert ou masqué, c'est la question qui est au coeur du présent ouvrage. Il résulte de l'analyse que la protection des attentes légitimes ne trouve pas à se déployer de la même manière selon les domaines où on les rencontre. Elles sont parfois décisives pour limiter le pouvoir discrétionnaire de l'administration. Elles jouent, d'autres fois, uniquement de manière supplétive. Elles sont liées au principe de confiance légitime ou s'en émancipent. Mais en dépit de ces variables d'application, la protection des attentes légitimes, dans tous les cas, participe à l'exigence de rationalité de l'action de l'Etat. Une meilleure connaissance de ce(s) principe(s) contribue à la compréhension des mutations du droit public."
Présentation de l'éditeur : "La protection des attentes légitimes fait partie de ces principes dont chacun comprend l'idée générale, mais pour lesquels il est impossible de proposer une définition univoque. C'est que là où elles constituent un facteur bien identifié de l'encadrement de l'action publique - en Common law ou en droit international des investissements par exemple -, les attentes légitimes donnent lieu à des interprétations ...

Droit public ; droit comparé ; droit privé ; attentes légitimes

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- VI-411 p.
Cote : GOUNELLE 221

droit international privé ; transport

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- 170 p.
Cote : GOUNELLE 238

droit international ; personnes

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- VI-338 p.
Cote : GOUNELLE 248

droit international privé ; responsabilité

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