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Documents  procédure parlementaire | enregistrements trouvés : 4

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- 218 p.
Cote : DIR COST 1418

Texte remanié de : Mémoire de master recherche 2e année : Droit public fondamental : Bordeaux : 2017. Présentation de l'éditeur : " Un paradoxe apparent résulte de la confrontation des discours doctrinaux déplorant, d'une part, la faiblesse d'un Parlement réduit à une "chambre d'enregistrement" de la volonté du Gouvernement et accusant, d'autre part, le Parlement d'être responsable de la "crise de la loi". Comment le Parlement peut-il être à la fois victime et coupable ? Cette contradiction peut être résolue si l'on envisage que les dysfonctionnements critiqués de la production législative soient précisément causés par la faiblesse institutionnelle du Parlement. Cette étude se propose d'explorer cette hypothèse à travers une méthode interdisciplinaire, fondée sur la transposition des outils de la psychologie sociale à l'observation des relations institutionnelles entre Parlement et Gouvernement. Une telle approche permet de confirmer que le Parlement est dans une position de soumission par rapport au Gouvernement mais surtout - et c'est là son prinicipal apport - que cette position contraint bien les parlementaires à adopter des comportements stratégiques assimilables à des pathologies de la procédure législative. En définitive, il ressort de l'analyse que la revalorisation du Parlement par le renforcement direct de son rôle législatif semble impossible mais que celle de ses autres fonctions est une alternative sérieuse, susceptible d'induire par ricochet une production législative plus efficiente."
Texte remanié de : Mémoire de master recherche 2e année : Droit public fondamental : Bordeaux : 2017. Présentation de l'éditeur : " Un paradoxe apparent résulte de la confrontation des discours doctrinaux déplorant, d'une part, la faiblesse d'un Parlement réduit à une "chambre d'enregistrement" de la volonté du Gouvernement et accusant, d'autre part, le Parlement d'être responsable de la "crise de la loi". Comment le Parlement peut-il être à la ...

droit - législation ; Parlement ; procédure parlementaire

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- XXIII-612 p.
Cote : DIR COST 1519

Texte remanié de : Thèse de doctorat : Droit public : Aix-Marseille : 2019. Prix de thèse Louis Joinet : 2020 : France. - Prix des Éditions législatives pour la meilleure thèse en droit public : 2020 : France. - Prix spécial du jury du prix de thèse du Sénat : 2020 : France. - Prix de thèse de l'UMR DICE 7318 : 2020 : France. Présentation de l'éditeur : "Le droit constitutionnel peut-il mettre fin à l'obstruction parlementaire, comme l'ambitionnait la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 ? Plus de dix ans après, le phénomène n'a pas disparu et s'est même renouvelé. Se fixant pour objectif de saisir l'obstruction parlementaire, cette étude propose, à partir d'une définition stipulative, d'identifier ce phénomène politique dans ses différentes manifestations, révélant son caractère à la fois ancien et polymorphe. Afin de comprendre l'ensemble des spécificités propres à ce phénomène, cette phase d'identification est assortie d'un exercice de qualification juridique. Il en résulte une nouvelle définition de l'obstruction parlementaire : celle-ci constitue un abus de droit constitutionnel. A partir de ce concept, la thèse s'attache, dés lors, à étudier les procédés d'encadrement de l'obstruction parlementaire. Fréquemment décriée, cette dernière a fait l'objet de nombreuses tentatives de limitation, en vain. L'analyse menée met, en effet, en exergue le caractère insatisfaisant des moyens de lutte contre l'obstruction parlementaire et conduit à repenser l'ensemble des méthodes d'encadrement de celle-ci en remontant aux origines des maux. La commission d'abus de droits constitutionnels à des fins d'obstruction parlementaire parait dépendre de la place et du rôle conférés à l'opposition parlementaire et, plus largement, au Parlement. Si la fusion des pouvoirs en faveur de l'exécutif incite à promouvoir l'épuisement de la logique politique consacrée par la révision de 2008 à travers l'institutionnalisation de la minorité opposante, la présente thèse défend également la nécessité de rechercher une logique institutionnelle capable de rétablir et de garantir l'équilibre entre les organes."
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Droit public : Aix-Marseille : 2019. Prix de thèse Louis Joinet : 2020 : France. - Prix des Éditions législatives pour la meilleure thèse en droit public : 2020 : France. - Prix spécial du jury du prix de thèse du Sénat : 2020 : France. - Prix de thèse de l'UMR DICE 7318 : 2020 : France. Présentation de l'éditeur : "Le droit constitutionnel peut-il mettre fin à l'obstruction parlementaire, comme l'...

procédure parlementaire ; obstructionnisme ; droit et politique ; France

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- XXXVIII-347 p.-[1] p. de pl.
Cote : DIR COST 1553

Présentation de l'éditeur : " Léo Hamon (1908-1993) a connu plusieurs vies, successivement avocat, résistant professeur de droit, ministre et parlementaire. De 1959, où il est professeur des facultés de droit, d’abord à Dijon, puis à Orléans et à Paris, à 1969, où il devient secrétaire d’État, porte-parole du gouvernement, dans le gouvernement de Jacques Chaban-Delmas, il fut le premier, et souvent le seul, commentateur des décisions du Conseil constitutionnel. Sa première note d’arrêt concerne les deux premières décisions du Conseil constitutionnel des 24 et 25 juin 1959 relatives aux règlements de l’Assemblée nationale et du Sénat. Sa première chronique est intitulée « Quand les assemblées parlementaires ont des juges » (au Dalloz, 1959). En quelques mots, tout est dit. La République parlementaire traditionnelle a vécu. La Constitution de 1958 a mis fin à la toute-puissance du Parlement. Le dernier commentaire est relatif à la décision du 30 janvier 1968 sur l’introduction de la publicité à la télévision, un thème explosif dans le débat politique de l’époque. Les soixante et une Notes et chroniques ici rassemblées et publiées pour la première fois offrent un paysage méconnu du Conseil constitutionnel. Institution très critiquée en 1958-1959, le Conseil est alors essentiellement perçu comme un « chien de garde » du gouvernement contre les éventuels débordements des assemblées. Pourtant Léo Hamon montre, décision après décision, comment cette nouvelle institution va devenir rapidement une juridiction, au sens complet du terme. Certes, il faudra attendre le 16 juillet 1971 pour qu’une loi soit déclarée contraire à la Constitution, mais les écrits et analyses de Léo Hamon permettent de comprendre les cheminements qui ont permis les transformations ultérieures. Rédigées d’une plume alerte et classique, ces Notes et chroniques, souvent passées inaperçues, mais publiées dans les deux grandes revues généralistes, le Dalloz et le Sirey, méritent aujourd’hui une lecture à la fois rétrospective et prospective : elles traduisent la rupture de 1958 et anticipent sur les révisions constitutionnelles de 1974 et 2008. De plus, elles permettent de retrouver la si attachante personnalité de Léo Hamon. Grâce au soutien du Sénat, du Conseil constitutionnel et de l’université de Dijon et au concours de l’Association française de droit constitutionnel, ce volume deviendra une lecture obligée pour tous ceux qui s’intéressent à l’extraordinaire aventure du Conseil constitutionnel. Ouvrage coordonné par Didier Maus, Ancien conseiller d'Etat, Président émérite de l'Association française de droit constitutionnel. "
Présentation de l'éditeur : " Léo Hamon (1908-1993) a connu plusieurs vies, successivement avocat, résistant professeur de droit, ministre et parlementaire. De 1959, où il est professeur des facultés de droit, d’abord à Dijon, puis à Orléans et à Paris, à 1969, où il devient secrétaire d’État, porte-parole du gouvernement, dans le gouvernement de Jacques Chaban-Delmas, il fut le premier, et souvent le seul, commentateur des décisions du Conseil ...

Conseil constitutionnel ; procédure parlementaire ; droit constitutionnel ; France

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