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Documents  FABIUS Laurent | enregistrements trouvés : 6

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- XXXVIII-347 p.-[1] p. de pl.
Cote : DIR COST 1553

Présentation de l'éditeur : " Léo Hamon (1908-1993) a connu plusieurs vies, successivement avocat, résistant professeur de droit, ministre et parlementaire. De 1959, où il est professeur des facultés de droit, d’abord à Dijon, puis à Orléans et à Paris, à 1969, où il devient secrétaire d’État, porte-parole du gouvernement, dans le gouvernement de Jacques Chaban-Delmas, il fut le premier, et souvent le seul, commentateur des décisions du Conseil constitutionnel. Sa première note d’arrêt concerne les deux premières décisions du Conseil constitutionnel des 24 et 25 juin 1959 relatives aux règlements de l’Assemblée nationale et du Sénat. Sa première chronique est intitulée « Quand les assemblées parlementaires ont des juges » (au Dalloz, 1959). En quelques mots, tout est dit. La République parlementaire traditionnelle a vécu. La Constitution de 1958 a mis fin à la toute-puissance du Parlement. Le dernier commentaire est relatif à la décision du 30 janvier 1968 sur l’introduction de la publicité à la télévision, un thème explosif dans le débat politique de l’époque. Les soixante et une Notes et chroniques ici rassemblées et publiées pour la première fois offrent un paysage méconnu du Conseil constitutionnel. Institution très critiquée en 1958-1959, le Conseil est alors essentiellement perçu comme un « chien de garde » du gouvernement contre les éventuels débordements des assemblées. Pourtant Léo Hamon montre, décision après décision, comment cette nouvelle institution va devenir rapidement une juridiction, au sens complet du terme. Certes, il faudra attendre le 16 juillet 1971 pour qu’une loi soit déclarée contraire à la Constitution, mais les écrits et analyses de Léo Hamon permettent de comprendre les cheminements qui ont permis les transformations ultérieures. Rédigées d’une plume alerte et classique, ces Notes et chroniques, souvent passées inaperçues, mais publiées dans les deux grandes revues généralistes, le Dalloz et le Sirey, méritent aujourd’hui une lecture à la fois rétrospective et prospective : elles traduisent la rupture de 1958 et anticipent sur les révisions constitutionnelles de 1974 et 2008. De plus, elles permettent de retrouver la si attachante personnalité de Léo Hamon. Grâce au soutien du Sénat, du Conseil constitutionnel et de l’université de Dijon et au concours de l’Association française de droit constitutionnel, ce volume deviendra une lecture obligée pour tous ceux qui s’intéressent à l’extraordinaire aventure du Conseil constitutionnel. Ouvrage coordonné par Didier Maus, Ancien conseiller d'Etat, Président émérite de l'Association française de droit constitutionnel. "
Présentation de l'éditeur : " Léo Hamon (1908-1993) a connu plusieurs vies, successivement avocat, résistant professeur de droit, ministre et parlementaire. De 1959, où il est professeur des facultés de droit, d’abord à Dijon, puis à Orléans et à Paris, à 1969, où il devient secrétaire d’État, porte-parole du gouvernement, dans le gouvernement de Jacques Chaban-Delmas, il fut le premier, et souvent le seul, commentateur des décisions du Conseil ...

Conseil constitutionnel ; procédure parlementaire ; droit constitutionnel ; France

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- 600 p.-16 p. de pl.
Cote : HIST DR 50

Préface de Laurent Fabius : "Conçue dans un esprit nationaliste, la collection Goering visait à exalter la pureté et la grandeur de l'art allemand. Elle finit en un odieux trophée de chasse, issu de la spoliation crapuleuse des joyaux de l'art européen. Les œuvres d'art ne doivent jamais être des proies. Elles constituent le bien commun de l'humanité. Cette vérité est intemporelle: la publication de cet ouvrage est une occasion de le rappeler.» Laurent Fabius
Récemment extrait des archives du Quai d'Orsay, le Catalogue Goering est un document exceptionnel. Il s'agit de la liste complète des tableaux qui formèrent la collection rassemblée par le numéro deux du nazisme dans sa propriété de Carinhall, non loin de Berlin. Habilement conseillé par des historiens d'art, Goering profita de son pouvoir sans limites, de l'immense fortune qu'il accumula par la persécution et l'assassinat des Juifs pour assouvir sa passion de l'art et son goût pour la peinture occidentale, les grands artistes flamands du XVIIe siècle, les peintures allemandes du XVIIe siècle, mais aussi l'art classique français et italien. A la fin de la guerre, une partie des œuvres fut retrouvée par les troupes américaines et le gouvernement français tenta de récupérer celles qui avaient été pillées en France. Rose Valland, attachée de conservation au musée du jeu de Paume, oeuvra sans répit à la mission de recherches, aux côtés des Monuments Men. Le Catalogue Goering raconte, à travers l'inventaire des uvres volées, l'histoire de leur collecte puis la recherche des propriétaires après-guerre - tous n'ont pas encore été retrouvés. L'historien Jean-Marc Dreyfus renoue ici les fils de l'enquête en même temps que les équipes des Archives diplomatiques décryptent cet étonnant catalogue."
Préface de Laurent Fabius : "Conçue dans un esprit nationaliste, la collection Goering visait à exalter la pureté et la grandeur de l'art allemand. Elle finit en un odieux trophée de chasse, issu de la spoliation crapuleuse des joyaux de l'art européen. Les œuvres d'art ne doivent jamais être des proies. Elles constituent le bien commun de l'humanité. Cette vérité est intemporelle: la publication de cet ouvrage est une occasion de le rappeler.» ...

biens culturels ; Droit et guerre ; Histoire

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- XIX-779 p.
Cote : LGDJ BC 141

Texte remanié de : Thèse de doctorat : Droit public : Montpellier : 2015. Présentation de l'éditeur : Traditionnellement, en raison du caractère « abstrait » du contrôle de la loi, le Conseil constitutionnel n'est pas censé s'intéresser aux conséquences de sa décision pour le choix de la solution. En effet, selon la conception classique, le juge confronte la loi à la Constitution en suivant un syllogisme : le contrôle est ainsi « pur » de toute considération extra-juridique. Et pourtant? l'étude révèle que le « conséquentialisme » - entendu comme un jugement fondé sur les effets et non sur les fondements qui soutiennent la décision - est omniprésent dans la jurisprudence constitutionnelle. Le juge prend en compte les conséquences politiques, économiques, sociales, institutionnelles de ses décisions, notamment pour prévenir les conséquences néfastes d'une solution vis-à-vis des droits et libertés. L'ouverture des délibérations, en 2009, confirme que le « réflexe conséquentialiste » existe depuis les débuts de l'institution. Et l'entrée en vigueur de la QPC, en 2010, a renforcé et banalisé l'usage de l'analyse conséquentialiste, devenue plus précise, plus technique. En tournant son regard vers le futur, le juge constitutionnel participe à l'adaptation contemporaine du contrôle aux besoins du droit constitutionnel, qu'il s'agisse de maîtriser les effets dans le temps d'une déclaration d'inconstitutionnalité ou d'intégrer les nouveaux rapports de systèmes. Cette recherche révèle combien le conséquentialisme constitutionnel est inévitable dans le contrôle de constitutionnalité, bien qu'il reste aussi nécessairement inachevé.
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Droit public : Montpellier : 2015. Présentation de l'éditeur : Traditionnellement, en raison du caractère « abstrait » du contrôle de la loi, le Conseil constitutionnel n'est pas censé s'intéresser aux conséquences de sa décision pour le choix de la solution. En effet, selon la conception classique, le juge confronte la loi à la Constitution en suivant un syllogisme : le contrôle est ainsi « pur » de toute ...

Conseil constitutionnel ; Contrôle constitutionnel des lois ; France

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- XIX-746 p.
Cote : LGDJ BC 145

Texte remanié de : Thèse de doctorat : Droit public : Paris 2 : 2016.-Prix de thèse du Conseil constitutionnel 2017. Présentation de l'éditeur : "L'introduction de la question prioritaire de constitutionnalité a fait de la question de l'effectivité des décisions du Conseil constitutionnel un problème central du contentieux constitutionnel français. Les relations entre le Conseil constitutionnel et les destinataires de ses décisions (principalement le législateur, le juge ordinaire et l'Administration) n'ont en effet jamais été aussi étroites que depuis l'entrée en vigueur du mécanisme de contrôle de constitutionnalité a posteriori. Avec la QPC, les décisions du juge constitutionnel sont désormais susceptibles d'affecter plus directement l'activité du législateur, la solution des litiges devant les juridictions ordinaires ou l'issue d'une demande à l'Administration. Cette multiplication des hypothèses où des décisions du juge constitutionnel doivent être exécutées augmente corrélativement les risques d'ineffectivité. Cette recherche s'attachera tout d'abord à appréhender l'exigence d'effectivité des décisions QPC. Il s'agira de déterminer dans quelle mesure il découle de l'autorité attachée aux décisions QPC du Conseil constitutionnel une obligation générale d'exécution pesant sur les destinataires. Il faudra également définir avec précision les prescriptions et interdictions spécifiques découlant de cette obligation générale d'exécution en examinant notamment la question complexe des effets dans le temps des décisions QPC. Le cadre théorique posé, il sera possible d'évaluer l'effectivité des décisions QPC. Cela consistera à étudier l'exécution ou non par les destinataires des obligations énoncées par le Conseil dans ses décisions afin d'obtenir des taux d'effectivité et d'ineffectivité. Cette évaluation permettra enfin de s'interroger sur les causes et l'incidence de l'effectivité et de l'ineffectivité des décisions QPC."
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Droit public : Paris 2 : 2016.-Prix de thèse du Conseil constitutionnel 2017. Présentation de l'éditeur : "L'introduction de la question prioritaire de constitutionnalité a fait de la question de l'effectivité des décisions du Conseil constitutionnel un problème central du contentieux constitutionnel français. Les relations entre le Conseil constitutionnel et les destinataires de ses décisions (pri...

question prioritaire de constitutionnalité ; Effectivité du droit

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- XVI-598 p.
Cote : LGDJ BC 146

Prix de thèse du Conseil constitutionnel 2018. Prsésentation de l'éditeur : "L'ordre public matériel, défini par le Code général des collectivités territoriales comme composé de la sécurité, de la salubrité et de la tranquilité publiques, est-il le seul à pouvoir être utilisé par une autorité de police pour limiter les droits et libertés des individus ? La question n'est pas nouvelle et elle a pu diviser la doctrine. Le droit positif, en particulier jurisprudentiel, laisse en effet place à des interdictions générales et absolues qui ne peuvent être justifiées au moyen de ces trois composantes classiques de l'ordre public. L'arrêt du Conseil d'Etat relatif au lancer de nain en est un exemple révélateur. Les débats et les dispositions législatives relatifs à l'interdiction de la dissimulation du visage dans l'espace public ont conduit à apporter une réponse à cette question. C'est à cette réponse que le présent ouvrage est consacré. L'analyse démontre qu'il existe, à côté de l'ordre public matériel, un ordre public que l'autorité de police utilise en l'absence de trouvles matériels, pour faire prévaloir face aux droits et libertés subjectifs individuels une exigence supérieure fondée sur des valeurs objectives. Pouvant ainsi être qualifié d'"immatériel", cet ordre public intervient dans le cadre d'un déséquilibre dont serait affecté l'Etat de droit. Dans ce contexte, c'est une notion fonctionnelle. Une formalisation de cet ordre public peut dès lors être proposée afin d'en définir un contenu, des fondements textuels, un régime juridique. Justifiant à lui seul une mesure de police, l'ordre public immatériel est ainsi une notion autonome. En définitive, cet ouvrage, s'il n'ignore pas les réticences, à reconnaître l'existence d'un tel ordre public, se donne le projet d'en livrer une formalisation permettant de le faire sortir de sa condition de notion implicite ou innommée."
Prix de thèse du Conseil constitutionnel 2018. Prsésentation de l'éditeur : "L'ordre public matériel, défini par le Code général des collectivités territoriales comme composé de la sécurité, de la salubrité et de la tranquilité publiques, est-il le seul à pouvoir être utilisé par une autorité de police pour limiter les droits et libertés des individus ? La question n'est pas nouvelle et elle a pu diviser la doctrine. Le droit positif, en ...

Droit public ; Ordre public

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- XVII-794 p.
Cote : LGDJ BC 153

Présentation de l'éditeur : "Malgré une longue tradition légicentriste, la France est aujourd'hui l'un des rares États européens dans lesquels la loi promulguée peut être contestée, à l'occasion d'un procès, par deux voies résolument distinctes : la question prioritaire de constitutionnalité, d'une part, et le contrôle de conventionnalité, d'autre part. À première vue, il semble exister une véritable disjonction entre ces deux mécanismes de contrôle de la loi. Ils sont en effet exercés par des juridictions différentes, ne veillent pas au respect des mêmes normes et divergent par leurs effets. Pourtant, en dépit de la quasi-absence de règles régissant leurs relations, s'est progressivement mise en place une véritable interconnexion des deux contrôles. Ainsi, l'adaptation des deux instruments l'un à l'autre, l'imbrication des problématiques constitutionnelles et conventionnelles au sein du contentieux, les rapports d'influence ou d'autorité entre les juridictions concernées et l'enchâssement des procédures de saisine des juges constituent autant de démonstrations de l'émergence d'un droit prétorien des relations entre question prioritaire de constitutionnalité et contrôle de conventionnalité. La puissance des rapports entre ordres juridiques, la spécificité des normes en jeu et la multiplicité des Hautes juridictions impliquées imposent la recherche d'un équilibre toujours mouvant en la matière, dont l'enjeu principal n'est rien de moins que l'enrichissement de la protection des droits et libertés fondamentaux."
Présentation de l'éditeur : "Malgré une longue tradition légicentriste, la France est aujourd'hui l'un des rares États européens dans lesquels la loi promulguée peut être contestée, à l'occasion d'un procès, par deux voies résolument distinctes : la question prioritaire de constitutionnalité, d'une part, et le contrôle de conventionnalité, d'autre part. À première vue, il semble exister une véritable disjonction entre ces deux mécanismes de ...

question prioritaire de constitutionnalité ; droit international et droit interne ; Contrôle juridictionnel des lois ; droit comparé

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