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Edition commerciale de : Thèse de doctorat : Droit public : Aix-Marseille 3 : 2010

Présentation de l'éditeur :
Vingt ans après la naissance de la presse privée algérienne et l'adoption de la loi du 3 avril 1990, relative à l'information, cette étude vient décrypter la manière dont le droit algérien consacre et protège la liberté de la presse. Concrètement, depuis l'indépendance, la Constitution algérienne a toujours reconnu la liberté d'expression, dont la liberté de la presse est une application. Le législateur, par des textes épars dans un premier temps, a entériné cette protection constitutionnelle de la liberté de la presse, tout en précisant son cadre d'exercice.
Ce cadre tantôt trop strict tantôt silencieux sur des points pourtant fondamentaux (comme la question de la publicité) laissait présager les limites bientôt découvertes, dans un contexte où l'état d'urgence décrété le 9 février 1992 n'a été abrogé que le 23 février 2011. Cet ouvrage confronte les prescriptions juridiques relatives à la liberté de la presse aux réalités pratiques de la presse algérienne.
Le degré d'effectivité de cette liberté dans ce pays en transition démocratique est envisagé comme l'un des critères de l'évolution du processus démocratique en Algérie. La liberté de la presse apparaît donc comme un précieux indicateur, un révélateur, de la réalité de la transition démocratique en Algérie. À ce titre, ce travail peut constituer une analyse exportable aux voisins maghrébins, d'une part, et à l'ensemble des États en transition, d'autre part.
Souvent, notamment dans les pays arabes, on constate un véritable pharisaïsme juridique d'origine politique. Partout où la liberté de la presse est menacée, un corpus juridique assez important met en avant la garantie de la liberté de la presse. Dans les faits, l'application des règles juridiques se révèle cependant toujours restrictive. Cet ouvrage se veut à la fois une étude aboutie d'un champ jusque-là inexploré et un point de départ à de nécessaires et futures recherches sur la liberté de la presse dans le monde arabe et, plus largement, dans les pays en transition démocratique.

Présentation de l'éditeur : "L’Autrice raccoglie in “Antiche libertà e nuova frontiera digitale alcuni saggi”. L’idea di fondo è l’incapacità della tecnica a orientarsi ex se verso il bene o il male. Superato il mito della sua autosufficienza, l’Autrice si chiede quali i vantaggi e gli svantaggi delle due antagoniste prospettive valoriali tra cui il decisore politico dovrà scegliere per regolare, al minimo indispensabile, l’universo di Internet. La prima consente l’uso della tecnica a chi, già in posizione di dominanza, intende rafforzarla sui nuovi scenari tecnologici per moltiplicare il suo iniziale vantaggio politico-economico. La seconda invece declina la tecnica a favore della persona esclusa, offrendole un’occasione di effettiva inclusione politica per compierne la dimensione costituzionale di individuo come annunciata negli artt. 2 e 3, comma 2, Cost. Il metodo di un costituzionalista, il dialogo incessante tra le libertà e il potere costituito, è una delle chiavi di lettura di Internet, utile per vivere la tecnica, non nella dimensione minimale di consumatori-utenti distratti dai benefici economici della rete, ma da cittadini consapevoli nell’esercizio dei diritti fondamentali."

Présentation de l'éditeur : "This book discusses the revolutionary broadening of concepts of freedom of press and freedom of speech in Great Britain and in America in the late eighteenth century, in the period that produced state declarations of rights and then the First Amendment and Fox's Libel Act.

The conventional view of the history of freedoms of press and speech is that the common law since antiquity defined those freedoms narrowly, and that Sir William Blackstone in 1769, and Lord Chief Justice Mansfield in 1770, faithfully summarized the common law in giving a very narrow definition of those freedoms as mere liberty from prior restraint and not liberty from punishment after something was printed or spoken.

This book proposes, to the contrary, that Blackstone carefully selected the narrowest definition that had been suggested in popular essays in the prior seventy years, in order to oppose the growing claims for much broader protections of press and speech. Blackstone misdescribed his summary as an accepted common law definition, which in fact did not exist. A year later, Mansfield inserted a similar definition into the common law for the first time, also misdescribing it as a long-accepted definition, and soon misdescribed the unique rules for prosecuting sedition as having an equally ancient pedigree. Blackstone and Mansfield were not declaring the law as it had long been, but were leading a counter-revolution about the breadth of freedoms of press and speech, and cloaking it as a summary of a narrow common law doctrine that in fact was nonexistent.

That conflict of revolutionary view and counter-revolutionary view continues today. For over a century, a neo-Blackstonian view has been dominant, or at least very influential, among historians. Contrary to those narrow claims, this book concludes that the broad understanding of freedoms of press and speech was the dominant context of the First Amendment and of Fox's Libel Act, and that it enjoyed greater historical support."