Documents  HALPÉRIN Jean-Louis | enregistrements trouvés : 13

Présentation de l'éditeur :
Sans avoir jamais été professeur d'histoire du droit en titre, Edouard-René Lefebvre de Laboulaye, professeur de législation comparée au Collège de France aux idées libérales, a joué un rôle majeur dans le développement de cette discipline en France, à travers la rédaction de l'article programmatique ouvrant le premier numéro de la Revue historique de droit français et étranger (1855), "De la méthode historique en jurisprudence et de son avenir ".
A un siècle et demi de distance, Jean-Louis Halpérin propose, avec le même plan, un manifeste sur la méthode historique, ses usages présents ou à venir dans les sciences juridiques.

Présentation de l'éditeur :
C’est une pluralité de cultures juridiques que nous révèle cet ouvrage.
Chaque groupe de juristes dispose de pratiques, de savoir-faire et de manières d’être différents. Les prétendus principes juridiques atemporels inhérents au droit français sont ainsi mis en question. Sait-on, par exemple, qu’avocats, magistrats, notaires ne passaient jusque dans les années 1950 que trois ans dans les facultés ? Ou que les deux guerres mondiales ont mis à rude épreuve ce modèle de rayonnement de la doctrine universitaire et d’une culture républicaine homogène ?

De la Révolution à l’essor de l’influence universitaire des XIXe et XXe siècles, de la codification napoléonienne à vocation unificatrice à l’internationalisation croissante depuis 1945, Frédéric Audren et Jean-Louis Halpérin éclairent avec méthode et lucidité les processus réactualisés des formes du droit, entre objets culturels du passé et enjeux contemporains.

Un ouvrage novateur qui invite à une meilleure connaissance d’un des fondements de notre société : le droit.

Ouvrage paru initialement en 1821 chez Thomine et Fortic. Présentation de l'auteur : "Le terme d'obligation a deux significations. Dans une signification étendue, lato sensu, il est synonyme au terme de devoir, et il comprend les obligations imparfaites, aussi bien que les obligations parfaites. [...] Le terme d'obligation, dans un sens plus propre et moins étendu, ne comprend que les obligations parfaites, qu'on appelle aussi engagements personnels, qui donnent à celui envers qui nous les avons contractés le droit d'en exiger de nous l'accomplissement ; et c'est de ces sortes d'obligations qu'il s'agit dans ce Traité. [...] Il est de l'essence des obligations,
1° qu'il y ait une cause d'où naisse l'obligation ;
2° des personnes entre lesquelles elle se contracte ;
3° quelque chose qui en soit l'objet.
Les causes des obligations sont les contrats, les quasi-contrats, les délits, les quasi-délits ; quelquefois la loi ou l'équité seule. Nous traiterons :
1° des contrats, qui sont la cause la plus fréquente d'où naissent les obligations ;
2° Des autres causes des obligations ;
3° Des personnes entre qui elles se contractent ;
4° Des choses qui en peuvent être l'objet."