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Documents  LARRALDE Jean-Manuel | enregistrements trouvés : 6

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Cote : BRU DJ 21

Actes du colloque de Caen, les 16 et 17 octobre 2008, organisé par le Centre de recherche sur les droits fondamentaux et les évolutions du droit, CRDFED

Présentation :
Les juristes ont débattu depuis longtemps de la possibilité pour chaque individu de disposer librement de son corps et de ses éléments. Sans aller jusqu’à une assimilation du corps à une chose dont d’individu serait propriétaire, l’idée d’autonomie de la personne connaît cependant une progression de plus en plus forte. La reconnaissance juridique de la procréation artificielle, du don d’organes, ou du respect de l’identité sexuelle des individus constituent autant d’évolutions récentes. Mais les complexes relations qu’entretiennent droit et corps laissent encore ouvertes de nombreuses questions telles que la reconnaissance du suicide, la légalisation ou la prohibition de l’euthanasie, l’acceptation des pratiques sadomasochistes, ou même la possibilité de se livrer à la prostitution… Le juriste se trouve ici confronté à des problèmes qui dépassent singulièrement l’élaboration normative, mais qui renvoient également à la morale, à la protection de la santé, et aux conceptions de l’ordre social. Ces différentes exigences ne permettent en effet pas d’utiliser son corps comme moyen pour atteindre n’importe quelle fin. Le colloque organisé à Caen les 16 et 17 octobre 2008, qui a réuni juristes de différentes disciplines, théoriciens du droit, sociologues et philosophes, apporte une contribution aux débats les plus actuels en la matière, tant en ce qui concerne le droit français que le droit de la Convention européenne des droits de l’homme.




Actes du colloque de Caen, les 16 et 17 octobre 2008, organisé par le Centre de recherche sur les droits fondamentaux et les évolutions du droit, CRDFED

Présentation :
Les juristes ont débattu depuis longtemps de la possibilité pour chaque individu de disposer librement de son corps et de ses éléments. Sans aller jusqu’à une assimilation du corps à une chose dont d’individu serait propriétaire, l’idée d’autonomie de la personne connaît ...

Belgique ; bioéthique ; CEDH ; dignité de la personne humaine ; droits de l'enfant ; droits et libertés fondamentaux ; Europe ; France ; liberté sexuelle

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- 264 p.
Cote : DIR PEN 94

Présentation de l'éditeur : "L’époque contemporaine montre tout à la fois un renforcement des différentes formes d’enfermement (des délinquants, des malades mentaux, des étrangers) au nom des enjeux sécuritaires et une intensification des interactions entre le « dedans » et le « dehors » des lieux privatifs de liberté, au nom des droits fondamentaux des personnes qui y sont enfermées. C’est cette question des frontières de la privation de liberté que cet ouvrage se propose d’explorer. Les frontières peuvent être matérielles, spatiales et sociales. Elles sont aisées à identifier quand elles sont matérialisées par des enceintes barbelées ou par des grilles, plus subtiles mais non moins enfermantes quand elles se situent au sein du domicile dans le cadre d’un placement sous surveillance électronique. Les frontières peuvent également être temporelles, du début de la privation de liberté au retour à la vie libre, en passant par des sorties ponctuelles autorisées. La question se pose autrement pour les personnes condamnées à perpétuité, privées de liberté sans limite de temps. Il peut s’agir aussi des frontières psychiques. L’expression artistique ou l’accès à la littérature peuvent constituer des espaces de liberté importants. Dans d’autres cas, le franchissement de ces frontières psychiques peut conduire au suicide comme ultime moyen de recouvrer la liberté. Résolument pluridisciplinaire, l’ouvrage donne la parole à de jeunes chercheurs et de jeunes chercheuses de diverses disciplines (droit, sociologie, psychologie, science politique, langues et musique) afin de croiser les regards sur les différentes manières de penser, vivre et dépasser la privation de liberté, soit physiquement, soit par l’esprit."
Présentation de l'éditeur : "L’époque contemporaine montre tout à la fois un renforcement des différentes formes d’enfermement (des délinquants, des malades mentaux, des étrangers) au nom des enjeux sécuritaires et une intensification des interactions entre le « dedans » et le « dehors » des lieux privatifs de liberté, au nom des droits fondamentaux des personnes qui y sont enfermées. C’est cette question des frontières de la privation de ...

rétention administrative ; prisons ; Droit de la peine ; droits de l'Homme ; consentement (droit)

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