V Nature de l'office du juge de 1ère instance et d'appel dans l'appréciation du caractère sérieux d'une QPC : filtrage ou contrôle de constitutionnalité ?
Centre d'études et de recherches comparatives constitutionnelles et politiques (Montpellier 1) (Éditeur scientifique) ; Mission de Recherche Droit et Justice (collaboration) ; Viala A. (directeur de publication)
2012
126 p. + Synthèse
DRI COST 1040
Le présent document constitue le rapport scientifique d'une recherche financée par le Groupement d'intérêt public "Mission de recherche droit et justice" (convention de recherche n° 211.02.23.18). - Membres de l’équipe : Jordane ARLETTAZ, Julien BONNET, Pierre DE MONTE, Yves GAHDOUN, Thomas MEINDL, Charles RAVAUT, Jérôme ROUX, Florian SAVONITTO
Sommaire :
Chapitre Ier : L’appréciation du caractère sérieux d’une QPC par le juge administratif
I. Le cadre général de l’appréciation du caractère sérieux des moyens de constitutionnalité
A. Les préalables à la mise en œuvre du 3 ème critère de filtrage (61,5% de l’ensemble des décisions étudiées)
B. La mise en œuvre du 3 ème critère de filtrage (38,5% des décisions étudiées)
II. La nature de l’appréciation du caractère sérieux des moyens de constitutionnalité (38,5% des décisions étudiées)
A. Remarques méthodologiques préalables
B. Bilan de la nature de l’appréciation du caractère sérieux
Chapitre II : L’appréciation du caractère sérieux d’une QPC par le juge judiciaire
I. La définition du cadre de l’étude
A. La sélection des décisions
B. L’analyse des décisions
II. La construction des hypothèses de recherche
A. La définition du caractère sérieux d’une QPC
B. L’éventualité d’un contrôle de constitutionnalité
Conclusion intermédiaire
Chapitre III : Expériences étrangères
I. Eléments de comparaison avec le système de contrôle de constitutionnalité des lois de la Belgique
A. L’esprit du mécanisme de filtrage des questions préjudicielles
B. Architecture du mécanisme de filtrage
C. Enseignements tirés
I. Eléments de comparaison avec le système de contrôle de constitutionnalité des lois de l’Italie
A.L'organisation de la «question de légitimité constitutionnelle» en Italie : l’absence de double filtre
B. Le caractère non manifestement infondé de la question de légitimité constitutionnelle en Italie
C. Le débat doctrinal en Italie sur l’articulation entre Interprétation conforme et caractère non manifestement infondé des questions de légitimité constitutionnelle
Conclusion
Annexe (Partie Juge administratif)
Annexe (Partie Juge judiciaire)
URL : http://www.gip-recherche-justice.fr/IMG/pdf/239-RF-Viala_QPC.pdf
Lieu d'édition : Montpellier
Langue : Français
Notes : Don Mission de Recherche Droit et Justice
Localisation : Centre de Droit et de Politique Comparés
Type de document : Rapport
Niveau d'autorisation : Public