Documents  Machiavel (1469-1527) | enregistrements trouvés : 7

sommaire :

I. Commynes "testimone" delle guerre d'Italia
II. Savonarola: tirannide e democrazia
II. Machiavelli e la lingua della giurisprudenza
IV. Politica e diritto in Guicciardini
V. Matteo Gribaldi: tradizione giuridica e riforma religiosa
VI. Claude Baduel: la "monarchia evangelica"
VII. La Boétie: "servitù volontaria" e guerra civile
VIII. Gentillet: la tirannia papale
IX. Bodin: sovranità e libertà di coscienza
X. Pierino Belli: guerra e diritto
XI. Alberico Gentili: il papato romano e il "potere totale"
XII. Cesare Speciano: prudenza politica e ragione di stato
XII. L'autodifesa di Bruno
Indice dei nomi

Texte remanié de : Thèse de doctorat : Philosophie : Lyon, École normale supérieure : 2011. Présentation de l'éditeur : ""Il est commun, aujourd’hui, d’associer la démocratie au consensus, et ce d’une double manière : d’une part en admettant qu’elle est le meilleur régime politique possible, d’autre part en considérant que l’accord vaut intrinsèquement mieux que le désaccord, et l’entente que le conflit. La qualité de la démocratie tiendrait à ses débats publics, qui à la fois rendent possible la confrontation des points de vue, tout en y mettant fin par l’obtention de consensus éclairés et légitimés par la règle de la majorité. Et si le conflit, au contraire, dans certaines conditions, devait servir de principe à la vie politique ? Il ne suffit pas de vivre en démocratie pour rendre la démocratie vivante. La démocratie n’est pas un régime mais un questionnement. Elle exige des citoyens une interrogation continue sur le bien commun à suivre. Machiavel n’était pas un démocrate. Mais c’est étrangement en actualisant sa pensée, dans le sillage des travaux de Lefort, qu’il est possible d’associer le conflit civil avec l’imaginaire social pour redynamiser la démocratie par la tension conflictuelle entre l’idéologie et l’utopie. Penser la démocratie à partir de ce que donne à penser Machiavel : voilà ce que s’efforce de faire Sébastien Roman, pour proposer dans une perspective républicaine le modèle d’un espace public dissensuel."

Présentation de l'éditeur : "La leggendaria figura di Niccolò Machiavelli, - pensatore, teorico, interprete profondo e appassionato degli avvenimenti politici e statuali del suo tempo, - viene in questo libro ricollocata nella sua dimensione piú umana e nel moltiplicarsi senza fine delle sue vocazioni. Ne esce un personaggio a tutto tondo, in cui corpo e cervello, intelligenza e passioni, invece di muoversi su binari paralleli e non comunicanti, convergono e continuamente si fondono fra loro. Il fascino di una ricostruzione condotta con questi criteri consente di cogliere meglio, e con maggiore concretezza, anche lo svolgimento processuale di un momento importante, anzi decisivo, della storia italiana, quello che Asor Rosa definisce la «grande catastrofe»: quando, in un breve volgere di anni (1492-1530), si sarebbero determinati e forgiati i destini della Nazione fino ai nostri giorni. Il talento narrativo dell'autore, ben noto per precedenti esperienze, fa di questo ricchissimo e complicato intreccio di temi, problemi, personaggi, decisioni giuste e decisioni avventate, lotte eroiche e imprese sciagurate, un racconto continuo e appassionato, di cui non si perde mai il filo. Vi si legge la storia del passato come se si trattasse della storia piú coinvolgente dei nostri tempi."

Présenation de Robert Kopp : "C'est pour avoir confondu morale et politique que l'on a fait à Machiavel une réputation de cynique. A tort. Le Prince est un manuel de gouvernement, comme il existe des manuels d'équitation. Le but d'un bon cavalier est de rester en selle ; le but d'un prince est de garder le pouvoir, de ne pas se faire désarçonner par un rival ou par le peuple. Gouverner, c'est d'abord conserver ce pouvoir, "c'est mettre vos sujets hors d'état de vous nuire et même d'y penser".
Le devoir de prince n'est point de faire le bonheur du peuple ; d'ailleurs le peuple "ne demande rien, sinon de n'être point opprimé". Ce que Machiavel met au jour, c'est le mécanisme du pouvoir sous l'Ancien Régime. Ses oeuvres politiques trouvent donc obligatoirement leur prolongement dans ses oeuvres historiques : l'Histoire de Florence est le complément indispensable du Prince. Or, un homme de la Renaissance ne serait pas cet homme complet qu'est le "courtisan" sans le sens du divertissement.
Machiavel est aussi un poète et un homme de théâtre. Sa Mandragore est une pièce régulièrement reprise par les troupes d'aujourd'hui. Et ses Lettres familières le restituent au milieu de ses amis, attentif aux plaisirs des uns, aux chagrins des autres, enjoué et plein d'humour. Cette édition réunit pour la première fois dans une traduction nouvelle l'ensemble des oeuvres de Machiavel. Un Dictionnaire de Machiavel, inédit, permet au lecteur de replacer l'auteur dans son époque et de se familiariser avec les termes clés de sa pensée. "
Contient un dictionnaire par Christian Bec. Titre de couverture : "Le Prince et autres oeuvres".
Contient : "Il principe
Contient :
Premiers écrits politiques
Des monarchies/Le prince
Discours sur la première décade de Tite-Live
L'art de la guerre
La vie de Castruccio Castracani de Lucques
Histoire de Florence
Écrits littéraires
Lettres familières"

Présentation de l'éditeur : "Niccolò Machiavelli è considerato uno dei più grandi teorici della ragione politica. In effetti è straordinaria la capacità con cui analizza le situazioni, i rapporti di forza, le alternative. Ma non è solo questo. È anche un visionario capace di sporgersi oltre le barriere dei canoni consueti, di vedere al di là delle situazioni di fatto, di proporre soluzioni 'eccessive', straordinarie: appunto, «pazze». Non per nulla gli amici gli attribuiscono capacità profetiche, cioè di prevedere cosa sarebbe, infine, accaduto. Machiavelli condivide naturalmente il giudizio sulla pazzia come mancanza di senso della realtà, stravaganza, addirittura idiozia: fare le cose «alla pazzeresca», come dice nella Mandragola, gli è completamente estraneo. La 'pazzia', però, può essere anche un'altra cosa: capacità di contrapporsi alle opinioni correnti, di rischiare il tutto per tutto inerpicandosi sul crinale che divide la vita dalla morte, di combattere affinché le ragioni della vita - cioè della politica, dello Stato - possano prevalere sulle forze della crisi, della degenerazione, pur sapendo che sarà infine la morte a prevalere sulla vita, perché questo è il destino di ogni cosa. Realismo e 'pazzia': è in questa tensione mai risolta che sta il carattere non comune, anzi eccezionale, dell'esperienza di Machiavelli rispetto ai suoi contemporanei. Una pazzia totalmente laica e mondana, senza alcun contatto con la follia cristiana di Erasmo."